Dans le cadre de la réduction de la pauvreté au niveau des couches les plus défavorisées en Guinée, AFRILAND FIRST BANK qui est une banque panafricaine a fourni assez d’efforts à travers son initiative axée sur les Mutuelles Financières des Femmes Africaines (MUFFA) et des MC2.
Un engagement sociétal d’Afriland first Bank pour matérialiser sa détermination à créer de nouveaux champions économiques avec pour particularité, la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. Il est à préciser que la Banque Afriland First n’avait pas bénéficié de subventions de l’Etat Guinéen.Pas de subvention publique,la banque a utilisé ses fonds pour encadrer, coacher et financer toutes les entreprises publiques et des particuliers.
Grâce à cette initiative salvatrice, nombreux sont des femmes et jeunes qui ont bénéficié de l’appui financier, technique et institutionnel de ladite banque. L’on se souvient que ces couches précitées sont restées longtemps assujetties à la pauvreté par le fait de la lourdeur des procédures administratives auprès des banques ou par l’absence des canaux de financement de leurs projets.
Dans un passé récent, cette belle approche de la banque (Afriland First Bank) a permis d’améliorer les conditions de vie de ces couches et ces dites couches sont désormais capables de gérer leurs propres projets.
Malheureusement, depuis un certain temps une dizaine de femmes non représentatives se sont constituées pour ternir l’image de cette prestigieuse banque qui a été et qui est un véritable catalyseur de réduction de la pauvreté en Guinée. Une poignée de moins dix (10) femmes insolvables sur près d’un million de femmes et de jeunes du réseau MC2 –MUFFA, ce sont elles qui ont détourné les fonds des pauvres dames dans les communautés. Elles avaient agi au nom de tous les bénéficiaires : femmes et jeunes avec pour principe le remboursement à la banque AFRILAND FIRST. Mais ce principe n’a jamais été respecté. Lorsque les mêmes femmes, au lieu de rembourser leurs prêts à AFRILAND se victimisent, l’on se demande qu’est-ce qu’elles cherchent vraiment ? Ne sont –elles pas en train de piocher sur le dos de l’administration d’Afriland First Bank pour refuser de payer le dû de celle-ci ?
Selon nos informations, ces femmes qui s’agitent aujourd’hui sont celles qui ont détourné les fonds des pauvres dames dans les différentes communautés du pays. « Elles avaient agi au nom de tous les bénéficiaires (femmes et jeunes) avec pour principe le remboursement à la banque AFRILAND FIRST. Mais ce principe n’a jamais été respecté. Lorsque les mêmes femmes, au lieu de rembourser leurs prêts à AFRILAND se victimisent, l’on se demande qu’est-ce qu’elles cherchent vraiment ? Ne sont-elles pas en train de piocher sur le dos de l’administration d’Afriland First Bank pour refuser de payer le dû de celle-ci ? », s’interrogent quelques personnes à Conakry.
A en croire nos sources, un rapport de la Banque Centrale de la République de Guinée (BCRG) fait mention que ces femmes qui s’agitent doivent aujourd’hui, à la banque (Afriland First Bank) une somme de cent six milliards de francs guinéens (106 000 000 000 GNF).
Pour bon nombre d’observateurs, si ces femmes insolvables s’agitent aujourd’hui, c’est parce qu’elles n’ont pas l’intention de payer cette importante somme d’argent à la banque.
« Elles doivent immédiatement arrêter ce qu’elles font actuellement contre Afriland First Bank qui n’est que leur bienfaitrice. Car, ce sont elles qui ont détourné de grosses sommes d’argent d’AFRILAND qui étaient destinées à la majorité des femmes et des jeunes de Guinée. La meilleure façon pour elles est de se taire et d’explorer des moyens nécessaires pour payer les cent six milliards… »
Mohamed Diallo